"Les courts métrages de Johanna Vaude (Autoportrait & le monde, 1997, Notre Icare, 2001) sont les premiers à être remarqués à une vaste échelle. La reconnaissance de cette jeune cinéaste, qui mélange éléments graphiques et cinéma de l’intériorité, donne une visibilité à toute sa génération."
Presse
Pesaro Film Festival – Wild Eyes by Stefano Masi
The title of the program takes its name from Johanna Vaude's lysergic film, L’œil sauvage, which can be considered the pioneer of the rebirth of french avant-garde cinema of recent year […]
Independent Film Show – « In the abysse of emulsion. The renaissance of experimental film in France » by Stefano Masi
cet œil sauvage est bien sûr aussi celui de la cinéaste, qui nous invite a explorer son propre imaginaire construit autour d’une autre forme de vision, à l’intérieur d’un univers qui n’est plus le notre. Un autre corps, une autre planète, des lois physiques différentes sur lesquelles se construit une expérience visuelle « autre » par rapport à notre propre construction.
Bref 51 – Le cinéma pindarique et intérieur de Johanna Vaude par Raphaël Bassan
Après les hommages qui lui ont été rendus un peu partout en 2001, il était temps de faire le point sur l’œuvre déjà abondante, de Johanna Vaude, une jeune cinéaste indépendante française plus que prometteuse […]
Cinéastes 6 – Voyage musical et plastique au coeur des êtres par Vivien Villani
Le cinéma de Johanna Vaude est traversé par un style extrêmement personnel qui se dégage rapidement de ses influences, et irrigue toute son œuvre de façon très cohérente, quelque soit le support utilisé. En même temps, chacune de ses œuvre a une originalité et une identité propre. […]
Repérages 28 – Confrontations en tous genres par Nicolas Schmerkin
Après le duo Valérie Mrejen / Milena Gierke l'an dernier, c'est l’œuvre de Johanna Vaude, la coqueluche de l'expérimental français qui sera confronté à celle de la New-Yorkaise Martha Colburn […]
Festival Côté Court – « L’élan du coeur » par Agathe Dreyfus
On dit communément qu'un artiste décline toute sa vie la même "obsession", qui se retrouve à travers ses œuvres de manière plastique ou thématique. Bien sûr il y a du vrai dans ce lieu commun, mais il est vrai aussi que ces déclinaisons peuvent être infiniment riches et variés. […]
Le Technicien du Film
Le Technicien du Film : "Farouchement indépendant" par Stéphane du Mesnildot in Le technicien du film n°513, p 55, Juillet / septembre 2001.
Bref 47 – « Expérimentaux ou simplement cinéastes ? » par Raphaël Bassan
Bref 47 - "Expérimentaux ou simplement cinéastes ?" par Raphaël Bassan
Jeune dure et pure – « Notre intimité collective » par Agathe Dreyfus
Johanna Vaude s'est d'abord exprimée par la bande dessinée et le dessin, exploration du cadre et du mouvement. La peinture et l'utilisation de la couleur ne sont venus que […]










