Encyclopédie du Court-Métrage

Encyclopedie Court Metrage

"Les courts métrages de Johanna Vaude (Autoportrait & le monde, 1997, Notre Icare, 2001) sont les premiers à être remarqués à une vaste échelle. La reconnaissance de cette jeune cinéaste, qui mélange éléments graphiques et cinéma de l’intériorité, donne une visibilité à toute sa génération."

Festival Côté Court – « L’élan du coeur » par Agathe Dreyfus

Festival Cote Court Johanna Vaude

On dit communément qu'un artiste décline toute sa vie la même "obsession", qui se retrouve à travers ses œuvres de manière plastique ou thématique. Bien sûr il y a du vrai dans ce lieu commun, mais il est vrai aussi que ces déclinaisons peuvent être infiniment riches et variés. […]

Libération – « Jeunes et expérimentaux » par Didier Péron

Libe

"Enthousiasme. En voyant ces films, mais aussi ceux flamboyants à s'en retourner les yeux de le très jeune Johanna Vaude qu'elle fabrique avec ciseaux et encre de chine comme des opéras psychédéliques faits main, en écoutant Photek ou As One à fond la caisse (L'oeil sauvage, Autoportrait et le monde...), on ne peut qu'être frappé par la diversité des approches et l'extrême enthousiasme qui les guide."

Autoportrait et le monde
 (Self Portrait and the world)

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Essai esthétique où circulent des formes, des couleurs, des dimensions qui se croisent et s’entrecroisent à un rythme où se perd tout repère […] Aesthetic attempt in which intertwining forms, colours and dimensions are moving in such a rhythm that all landmarks are lost […]